Non non, je ne suis pas déprimé et ça n’arrivera jamais malgré les difficultés. Mais c’est peut-être votre cas ou ça l’a été. Aujourd’hui j’ai surtout été inspiré par cette phrase anglophone qui est « I’m sick and tired and I’m gonna do it » = « J’en peux plus, je suis fatigué, je vais le faire ! ». C’est ce que vous devriez dire lorsqu’une situation de votre vie arrive à un point qui n’est plus supportable. Et vous n’avez pas à supporter cela.
« J’en peux plus, j’en ai marre, je suis déprimé, etc. », combien de fois entendons-nous cela chaque jour ? Tout dépend de votre environnement bien entendu, mais beaucoup se laissent aller à dire ce genre de chose.
Mais qu’arrive t-il lorsque vous dites que vous n’en pouvez plus ?
Laissez-moi vous dire que c’est le moment pour vous d’agir !
C’est le moment où vous ne pouvez plus supporter cette situation !
C’est le moment où il se passe quelque chose dans votre esprit, que vous prenez véritablement conscience d’une situation qui ne peut plus durer.
C’est le moment où vous prenez la décision de changer votre vie.
C’est le moment où vous décidez de tourner le dos à ce que vous ne voulez plus.
C’est le moment où vous avez déterminé avec précision ce que vous ne voulez plus pour vous tourner vers ce que vous voulez vraiment…
C’est dans l’adversité que l’on trouve le plus d’énergie
Lorsque l’adversité est telle que vous ne pouvez plus la supporter, alors faites en sorte que les choses changent pour vous. Une situation qui a trop duré ne doit pas durer plus longtemps.
Vous vivez votre vie pour autre chose que de subir des évènements que vous n’avez pas souhaités.
Alors changez ! Changez cela. Changez ce qui ne va pas dans votre vie.
Prenez des décisions ! Prenez des engagements !
Que croyez-vous ? Qu’une situation va se rétablir d’elle même par miracle ? Cela n’arrive jamais.
Cela peut arriver seulement si vous changez. Si vous changez intérieurement, que vous décidiez consciemment de changer certains aspects de votre vie.
Profitez de ces moments dans votre vie qui sont difficiles pour changer. Profitez de ces moments que vous ne supportez plus.
Profitez de vos ras-le-bol, profitez de votre pseudo-déprime pour aller de l’avant.
Tout peut être changé.
Vous pouvez tout, à partir du moment où vous en prenez conscience.
Toute situation peut être changée et sera changée si vous le décidez.
J’en peux plus et j’en prends conscience
Alors la première étape est de prendre conscience de tout cela. Il y a un ras-le-bol notable qui ne peut plus durer. Ceci est un fait. Et quand quelque chose ne peut plus durer, il faut le changer.
Vous ne pouvez rien décider sans être pleinement conscient de la situation dans laquelle vous êtes.
On prend parfois des mesures sur un profond désir ou sur un évènement déclencheur mais c’est toujours lié à une prise de conscience.
La prise de conscience que l’on veut autre chose. La prise de conscience que l’on veut du changement, du mieux dans notre vie.
Alors allez-y, prenez conscience de vos envies. Prenez conscience de vos ras-le-bol. Je suis convaincu que vous avez de nombreux exemples de choses que vous mourrez d’envie de réaliser ou de changer dans votre vie.
Imaginez ce que pourrait être votre vie si vous changiez tout cela, si vous faisiez en sorte que vos désirs deviennent réalité. Vous quitteriez votre confort pour obtenir une vie qui vous convient mieux à tout point de vue !
Personnellement, j’adore tous les aspects de ma vie car c’est aussi ma philosophie de vie. Tout est à sa place. MAIS, cela n’empêche pas qu’il y ait plein de choses que je souhaite changer, que je souhaite faire, que je souhaite découvrir, des choses auxquelles je vais tourner le dos. Car il est normal de changer d’orientation, de désirs.
Même si vous pensez avoir la vie la plus pourrie au monde, elle est parfaite comme elle est. Car tout ce que vous n’aimez pas est justement là pour vous montrer une autre voie.
On a toujours le choix de voir le verre à moitié vide. Pourtant tout le monde sait qu’il est autant à moitié plein qu’à moitié vide. Et que seuls les fous le voient véritablement à moitié vide…
J’en peux plus et j’agis !
Que ce soit votre vie dans son ensemble, votre travail, votre vie de famille, vos activités, quoi que ce soit, si cela ne va pas, changez.
Prenez des mesures pour que les éléments qui ne vous conviennent plus dans votre vie changent pour le meilleur.
Prendre conscience de ce qui ne pas, c’est bien. Mais si vous ne prenez pas de décision ou d’engagement par la suite, alors ça ne sert à rien. Cela vous frustrera plus qu’autre chose.
Aujourd’hui, vous pouvez décider d’aller plus loin, de passer à la vitesse supérieure.
Profitez de ce genre de lectures pour prendre des engagements avec vous-même qui vous conduiront à plus de bonheur dans votre vie.
Le bonheur est au bout de la rue mais faut-il encore que le chemin soit éclairé si vous voulez ne pas vous gaufrer sur le chemin…
Alors, la prochaine fois qu’une situation vous dérange dans votre vie et que vous n’en pouvez plus, pensez à cet article.
Et la meilleure des solutions est encore de prendre des décisions avant de ne plus en pouvoir. Pour cela, vous devez être sans cesse focalisé sur vos rêves/désirs et les faire grandir.
Et vous, avez-vous pris une décision à la lecture de cet article ? S’il vous a plu, partagez-le et j’attends vos retours d’expérience dans les commentaires !
Marine says
Salut Dorian 🙂
cet article me parle d’autant plus que je suis « passée par là » comme on dit.
J’ai grandi dans un environnement où les croyances telles que « on ne change pas »/ »c’est pas à mon âge que je vais changer », « de toute façon tu es comme moi tu n’as pas de chance », etc.
Pour faire court, j’espérai de tout cœur que les choses changent, que les gens changent parce que c’était eux le problème, etc.
Et puis à un moment donné, j’en ai eu marre, je me suis dit ça suffit, je vais pas continuer sur cette pente, à m’échiner à faire ce que je pense que l’on attend de moi comme attitude/paroles, ça ne me rend clairement pas heureuse, donc autant essayer de faire différemment.
J’ai donc décidé d’agir, je n’ai pas tout chamboulé d’un coup bien sûr, je ne pense pas d’ailleurs que le faire – du moins pour moi – puisse garantir la « réussite » du changement. J’ai donc appliqué, et applique toujours, la technique de petits changements successifs. Je ne regrette pas car je m’en porte mieux sur de nombreux plans, même si cela n’est pas forcément évident selon les situations.
C’est très juste je trouve quand tu écris que prendre conscience c’est une chose, agir en conséquence c’en est une autre, et qu’il faut prendre un engagement avec nous-même, c’est je pense ce qui est le plus à même de nous motiver lorsque l’on a un petit coup de moins bien.
Bonne fin de journée !
Dorian says
Salut Marine,
Voilà la preuve que ton environnement « limitant » à un instant donné t’était nécessaire pour apprendre et t’émanciper !
Et tu es la représentation parfaite du « I’m sick and tired, I’m gonna do it », j’adore !
Bravo en tout cas d’avoir su prendre le taureau par les cornes et t’engager cette voie.
Agir n’est jamais simple quand on n’en a pas l’habitude.
Merci de ton témoignage en tout cas.
Belle journée à toi 🙂
Dorian
Christine demulier says
Bonjour Dorian,
Ne pas avoir peur de prendre du recul pour faire le point. Prendre conscience d’une routine qui s’est installée et qui donne l’impression de sécurité.
Se remettre en question. S’éloigner du chaos et du bruit de notre société de consommation et de sur-information pour faire silence afin de retrouver sa véritable nature.
La méditation peut permettre tout cela en se recentrant sur soi-même.
C’est un travail de tous les jours, de toute une vie !
Je profite de ce commentaire pour te souhaiter un bon anniversaire ! 🙂
Bien amicalement,
Christine
Dorian says
Bonjour Christine,
Merci à toi 🙂
Oui, avoir cette capacité à prendre du recul sur les événements pour mieux les appréhender. VOilà une belle clé.
Mais dans tous les cas, agir en conséquence est un requis !
Très bonne journée à toi.
Dorian
Colette@spiritualite-101 says
Salut Dorian,
Il me semblait aussi que tu ne devais pas être déprimé et que ce titre n’était que pour attirer les lecteurs aux prises avec le découragement.
Tu as bien raison de dire que lorsque la situation a assez duré, elle doit changer. Combien de gens ont atteint le fond du baril et sont remontés à la surface pour faire un changement de vie à 360 degrés… ou plutôt à 180 degrés pour partir dans une autre direction qui leur a été salutaire.
Je dis 180 degrés parce que 360 degrés c’est tourner en rond et on ne veut pas ça…
Bonne journée!
Colette
Dorian says
Salut Sco,
Héhé oui tu avais bien deviné !
Oui un changement à 180 est mieux qu’à 360 !
Mais un changement d’un seul petit degré est déjà magnifique.
Il paraît qu’un avion décollant de Paris à destination de New York atterirait à Miami si sa trajectoire déviait d’un degré pendant tout le trajet. Soit plusieurs milliers de kilomètres…
De quoi s’inspirer 🙂
Bonne journée à toi aussi et au plaisir !
Dorian
Iram says
Moi, inversement je ne vois pas où ça cloche exactement …. Disons que je ne peux pas cibler mes attentes futures et je ne peux les atteindre
Je suis surdouée dans les études mais je n’ai pas travaillé il y’a un trait dans mon caractère qui devrait changer pour que je puisse être bien au travail
Cela fait presque 2 ans que je ne fais rien. Cette année je me suis inscrite à un cours de musique sauf qu’il y’a des sujets pressants à mon âge (28) pouvoir conduire une voiture être au boulot et moi je ne fais rien d’autre que la musique je ne sais plus où je vais donc je cherche du côté psychologique afin que ma détresse s’arrête un jour
Dorian says
Bonjour Iram,
Qu’est ce qui vous fait vraiment vibrer aujourd’hui ? La musique ?
C’est que c’est certainement dans cette voie-là que vous devez creuser. Pourquoi ne pas en faire votre métier ?
Et en quoi conduire une voiture et être au boulot est important ? Est-ce important à vos yeux ? Ou aux yeux des autres ?
Réfléchissez à ce que vous voulez vraiment faire VOUS, et prenez des décisions qui vous guideront vers ce que vous voulez vraiment.
Ce qui vous bloque aujourd’hui est l’indécision avant tout. Ne pas savoir sur quoi mettre votre énergie.
Bien amicalement,
Dorian
Danièle de Forme et bien-être says
Bonjour Dorian,
A ton âge je pensais que j’étais comme toi, je ne serais jamais déprimée.
Et puis ça m’est tombé dessus sans que je m’en aperçoive.
Un directeur qui n’avait qu’une idée me virer car il ne voulais pas de femme dans l’encadrement, un mari qui ne me soutenait pas, 2 fils adolescents, de gros travaux à faire, etc….
Trop, c’est trop et je suis tombée dans la dépression.
Cela a duré 3 mois. Le jour où j’ai pris conscience de l’état où je me trouvais j’ai décidé de me reprendre en main et en 1 semaine j’étais déjà mieux.
Mon patron n’a pas réussi à me virer, c’est lui qui est parti.
Pour d’autres personnes cela aurait peut-être duré plus longtemps.
Le problème que l’on a lorsque l’on est déprimé, on a du mal à écouter les bons conseils.
Merci pour ton article.
Mais on ne peut pas dire jamais.
Belle et douce journée.
Danièle
Dorian says
Bonjour Danièle,
Merci pour ton témoignage et je vais te dire vraiment ce que je pense.
Je suis un adepte du concept « ne jamais dire jamais » également. Mais j’ose le dire ici.
La raison en est que lorsque l’on applique certains principes dans sa vie, alors on ne peut plus redescendre trop bas sur l’échelle émotionnelle.
On vit tous des situations difficiles. TOUS. Et on les vit car on en a BESOIN. Ca, très peu de personnes arrivent vraiment à le comprendre et à l’intégrer.
Les gens s’en rendent comptent quand tout s’est réglé et que ça va beaucoup mieux. Ils se disent alors « décidément, c’était pas cool à vivre mais un mal nécessaire ».
On ne vient pas sur Terre pour vivre comme des pachas et des bisounours. La vie, ce sont des épreuves à vivre. Et on choisit notre attitude dans chacune de ces expériences.
Et la seule variable qui change d’un individu à un autre, c’est sa REACTION face aux situations qu’il vit, quelles qu’elles soient.
Quand on prend l’habitude de réagir positivement à chaque instant et que l’on est dans une démarche d’étudiant en permanence (=prêt à apprendre de toute situation) et également que l’on prend l’habitude d’être et non pas de réagir (=ne pas se faire influencer outre mesure par les faits), alors qu’est ce qui peut nous faire chuter pour de bon ?
Ma réponse : rien.
Je sais qu’il y a des exemples extrêmes. Je ne sais pas comment je deviendrais si j’étais torturés par des terroristes dans le noir pendant 60 jours. Mais en même temps, je ne vois pas pourquoi cela m’arriverait. Et si ça arrive, je m’efforcerais de toute la force de caractère que j’ai développée de rester dans la bonne attitude, si dure que cela puisse être.
Tu me diras, facile de dire ça assis tranquillement dans son canapé. Mais j’ose le penser.
Malgré mes propos affirmés, je ne peux qu’imaginer la détresse que l’on peut ressentir dans ce genre de situations et je ne peux que t’admirer de t’en être sortie avec brio. Car comme tu le dis, quand on est dans cette attitude, les conseils ne pénètrent pas bien loin dans notre cerveau.
Merci et au plaisir Danièle !
Dorian
Elodie says
Bonjour Dorian,
ton article me parle, d’autant que je suis passée par une phase dépressive il y a quelques années.
Pour avoir vécu ça, je peux te dire qu’il est difficile dans ces moments-là de se dire : « j’ai envie d’autre chose et j’agis ». J’étais plutôt dans le : « j’ai juste envie que ça s’arrête, mais je ne sais pas comment ».
Curieusement, ce n’est pas cette période de ma vie qui m’a fait opérer un changement radical, mais depuis, je me suis fait une promesse : « plus jamais je ne veux revivre ça ! ».
Alors maintenant, je reste « vigilante » afin de ne plus accepter (autant que possible) ce qui ne me convient pas…
Elodie
Dorian says
Bonjour Elodie,
Ton partage est la preuve même du bénéfice que tu as tiré de cette expérience.
Non c’était pas cool à vivre, oui c’était nécessaire pour que tu te recentres sur ce qui est important pour toi et pour prendre un engagement vis-à-vis de toi même (« plus jamais je ne veux revivre ça »)
Bravo en tout cas !
Belle journée à toi.
Dorian
Ophélie says
Salut Dorian,:-)
Dorian déprimé, je me disais bien qu’il y avait quelque chose de bizarre?!?;-)
Je connaissais le I am sick and tired of being sick and tired… mais il y en a encore qui trouveront que c’est normal d’être sick and tired…
Bon pour la défense des déprimés, quand on est dans le trou noir, difficile de sortir du trou pour avoir une autre perspective de sa vie, quand on pris dans ses émotions ont perd toute objectivité….
Et puis peut-être ces programmes limitants qui font qu’on se trouve des excuses pour ne pas sortir de son trou… Est-ce que je vais réussir sortir du trou, est-ce que j’en ai les capacités… d’escalader les murs ça va être sans fin… si je commence à escalader les murs, je vais devoir renoncer à mon petit confort..(je suis en plein débroussaillage de tous les programmes qui font qu’on va choisir de ne pas changer sa vie… et c’est quasi mission impossible) Non rien est impossible, selon Dorian super héro qui ne tremble devant rien, même pas une attaque terroriste…:-)
C’est sur que si on reste les bras croisés à attendre que ça passe, c’est mal barré… et alors, si on se prend une gamelle lors de l’escalade et bien 2ème tentative on va déjà plus haut et plus vite!!!! On a rien sans rien….et des petits gaufrages dans la vie c’est normal, un beau jour ça va bien finir par dépoter!
Et on a jamais fini d’apprendre, 2 nouveaux mots en 2 jours… et il carbure cet article!
🙂
Dorian says
Salut Ophélie,
Ha oui ta citation est encore mieux je trouve !
Je suis entièrement d’accord. Quand on est au fond du trou, ce sont dans ces moments qu’il est le plus difficile d’agir.
Mais c’est aussi dans ces moments-là qu’on se doit de faire la différence.
Je suis très mauvais pour avoir de la compassion envers ceux qui se laissent aller. Je préfère déranger et piquer pour espérer créer un déclencheur.
Sans avoir connu la dépression, tout le monde a connu des moments de moins bien. Et si on ne fait pas l’effort conscient dans ces moments là de retrouver l’énergie nécessaire, on perd la partie.
Comme tu dis, les gaufrages dans la vie, c’est normal, ça fait partie du jeu, il faut savoir les accepter et s’en servir pour se surpasser.
Merci à toi Ophélie 🙂
Dorian
Lebouc says
Moi j’ai 13 ans , je m’appelle Florian et j’ai envie de pèter des crises tellement j’en ai marre , j’ai cette envie de tous bourrés dans ma valise et de m’en allez très loin , je ne les écoutes même plus mes parents , je souffre !!!!!
Dorian says
Salut Florian,
La colère est un excellent indicateur d’une situation qui n’est plus pour toi !
Demande-toi ce que tu veux vraiment. Vouloir partir loin est simplement le signe que tu as besoin d’air, de changement ! Et ce changement peut être fait à plein de niveaux différents.
Qu’est-ce que tu veux vraiment ? Et je t’invite à en parler tranquillement avec tes parents qui veulent certainement le meilleur pour toi mais qui ne comprennent peut-être pas tes véritables besoins aujourd’hui.
Courage ! Une période de remise en question n’est jamais simple mais toujours très bénéfique !
Dorian
byebye says
désolé mais je trouve ce teste d’une banalité……
tout ce que dit on nous l’a tous dejà plus ou moins dit ….
Dorian says
Il est bien là le couac. Voir la banalité là où il n’y a que du merveilleux.
Je t’invite à prendre part aux différentes formations (toutes offertes) pour révéler ce merveilleux en toi et en ta vie. Il est là et il t’attend. Sa patience est sans limite mais la tienne peut-être moins…
Au plaisir ! Dorian
Sorcier Barthélemy says
Oui on est déprimés. Et quand on est déprimés on veut en finir. On a pas envie de mourir parfois à cause du tort qu’on va causer à ceux qui nous aiment. Mais franchement, quelle vie nous vivons ? On se dit tout simplement, à quoi bon ? On veut en finir et c’est tout. Mais non, c’est le moment d’agir et de prendre du bon temps. Coupez les ponts avec la vie active, ce n’est pas une course. Occupez vous de vous et de votre famille. Soyez en groupe tout le temps, mettez de la musique, mangez dansez jusqu’à retrouver la pêche. Dans la vie il y a des hauts et des bas, c’est comme ça.