Oui bonjour je veux être pompier !
Quand on est enfant, on nous demande régulièrement « Et toi alors, que veux-tu faire plus tard ? » Dans 50% des cas, nous répondions pompier, dans les 50 autres, princesse. Ce qui est fantastique c’est que l’on sait ce que l’on veut à cette période-là. Or, plus le temps avance, plus notre réponse tend à devenir « Je ne sais pas… » à part pour quelques illuminés qui auraient trouvé leur voie avant les autres.
Par défaut, nous réalisons les rêves des autres
Non ? Je pense que quand on n’a pas d’idée précise en tête, soit on essaie de faire des études les plus larges possibles pour avoir le plus de choix par le suite, soit on se fait grandement influencer par nos amis, nos proches et par ce que la société nous indique de « bien » à faire. Dans ce cas, on se retrouve à faire ce que les autres ont envie que l’on fasse. Cela peut nous paraître bien dans un premier temps, un peu moins dans un second, jusqu’à nous rendre compte que l’on a totalement fait fausse route !
La vraie question, vous l’êtes vous posée ?
Quels sont mes rêves ? Qu’est ce qui me procurerait du plaisir lorsque je le réaliserais ? Qu’est ce qui ferait que je me lèverais plein d’entrain tous les matins avec une pêche d’enfer ? Où est passé le petit garçon ou la petite fille en moi qui voulait devenir grand et réaliser ses plus grands rêves (sans parler de devenir pompier ou princesse) ? Mais alors qu’est ce qu’il vous empêche de changer cela aujourd’hui ?
Peur de tout perdre ?
Non ! Ce n’est pas parce que vous voulez changer quelque chose dans votre vie que vous allez tout perdre du jour au lendemain. Cela peut se faire très progressivement. Comme on dit, « Les petits ruisseaux font les grandes rivières ». Commencez par vous poser les bonnes questions puis passez à l’action. Même si c’est 2 minutes par jour ou 1h par semaine. Une fois le processus enclenché, si vous avez vraiment trouvé votre voie, vous aurez la motivation pour continuer et persévérer.
Vous avez déjà tout ce qu’il vous faut dans la vie ou vous avez atteint le bonheur suprême ?
Petite citation d’Eugène Tassé, un multimillionaire de 85 ans dont une des philisophie est :
« Je ne comprends pas que quelqu’un soit heureux en se contentant de ce qu’il a«
Je vous laisse méditer là-dessus…
Merci de me faire part de vos impressions sur cet article et je vous invite à le partager sur les réseaux sociaux.
Psym says
Je me reconnais bien dans cette article. Continue comme ça et tu deviendra peut être comme Eugène Tassé.
Dorian says
Bonjour Psym,
Hehe oui j’espère bien devenir comme Eugène Tassé un jour ! Merci pour ce sympathique commentaire.
zenie says
Bonjour Dorian, c’est toujours compliqué de sortir de sa zone de confort même si elle ne nous convient pas toujours…par chance pour moi, je me suis trouvée souvent poussée dans mes derniers retranchements et là, on doit prendre ses propres décisions et on commence à grandir…vers soi même.
à bientôt
zenie
Dorian says
Bonjour Zenie,
Oui, nous prenons plus facilement des décisions quand on nous pousses dans nos derniers retranchements c’est bien vrai. Là où les personnes qui réussissent font la différence, c’est qu’elles prennent leurs décisions le plus tôt possible. Et même si ce n’est pas la bonne, ils rectifient le tir plus tard. Il vaut mieux essayer et faire tout ce que l’on peut pour réussir, peu importe le résultat, que ne pas essayer et d’être déçu de ne pas l’avoir fait.
Merci pour ton commentaire et à bientôt.
Dorian
Julien says
Bonsoir Dorian,
Je cite une de tes phrase :
« Par défaut, nous réalisons les rêves des autres »
Ça c’est très vrai. Quand nous n’avons pas d’objectifs nous travaillons aux objectifs des autres, et ce parfois sans même nous en rendre compte 😉
Dorian says
Bonjour Julien,
Oui sans nous en rendre compte. C’est même dans ce cas l’inconscience la plus totale puisqu’on réalise ceux des autres sans même avoir pensé que l’on pouvait avoir des rêves à nous !
Dorian