Je vous invite aujourd’hui dans un voyage à la fois assommant et magique.
Toute personne engagée sur la voie du mieux-être en arrive à cette question au bout d’un certain temps : « Pourquoi le monde est-il aussi cruel ? ».
C’est bien vrai, il n’y a qu’à regarder la télé pour voir à quel point le monde ne tourne pas rond.
Et c’est sans compter les gens aigris que l’on croise au quotidien.
Alors vous qui êtes sur cette voie d’amélioration constant si je puis dire, comment faire pour accepter cela et faire rayonner votre lumière dans ce chaos ambiant ?
J’écris cet article de le cadre de la croisée des blogs organisée par le plateforme developpementpersonnel.org. Ce mois-ci, c’est Christopher du blog speedevelopment.com qui organise cette édition sur le thème du lâcher-prise.
Le monde d’aujourd’hui face au monde de demain
Je ne vais pas vous faire l’annonce du siècle si je vous dis que le monde d’aujourd’hui va mal.
Pourtant, ces notions de bien et mal sont bien subjectives. Certains vivent heureux en ce monde, d’autres souffrent.
Ce qui est certain, c’est qu’il existe des incohérences et que l’Homme n’a peut-être pas choisi les meilleures voies dans son développement.
Une phrase de Jane Goodall m’a marquée sur ce sujet lorsqu’elle dit : « Si nous sommes l’espèce la plus intelligente à avoir marché sur cette planète, comment pouvons-nous la détruire ? ».
Entre manipulation, complots et systèmes qui ne profitent qu’à un petit nombre, on comprend bien que tout ne tourne pas rond dans le monde d’aujourd’hui.
Le monde de demain a-t-il un meilleur avant-goût ?
Chacun a son opinion sur le sujet. Ce qui est certain, c’est que nous sommes de plus en plus à être sur la voie du mieux-être et à nous connecter aux fréquences qui ont le pouvoir de tous nous sauver.
Ces fréquences, ce sont les sentiments les plus nobles que l’on peut exprimer.
L’amour, la joie, l’appréciation sont autant de sentiments qui, lorsqu’ils sont exprimés, créent la magie dans notre vie et de celles et ceux qui nous entourent.
Un monde peuplé de 3 types de personnes
Nous avons aujourd’hui 3 catégories de personnes sur Terre :
- Les personnes qui œuvrent pour le mal en quelque sorte. Ils manipulent, ils divisent, ils prônent la violence, ils enragent contre le système, contre les autres, ils prônent la division et ils sont d’une façon générale sur des sentiments de de domination et de chacun pour soi.
- Les personnes qui s’en foutent, subissent en ruminant un peu mais ça va. Elles ne se rebiffent pas, attendent que les autres le fassent à leur place. Elles ont une vie plutôt classiques, dans le moule, ne se mouillent pas trop, arrivent à construire une petite vie sympa sans plus dans la plupart des cas. Certains tireront plus leur épingle du jeu que d’autres.
- Les personnes qui œuvrent pour le bien. Ces personnes peuvent être proactives dans leur démarche en aidant les autres, en créant des entreprises sur les domaines de l’éducation positive ou de la réussite, l’environnement, la santé, etc. Elles peuvent également être plus passive en étant simplement connectées à des sentiments élevés, montrant l’exemple, inspirant leur entourage et respirant la joie de vivre.
Nous avons littéralement le choix d’entrer dans une de ces catégories. Peut-être qu’aujourd’hui vous œuvrez pour le mal sans même vous en rendre compte. Les pensées de peur et de colère que vous émettez impactent directement le monde qui vous entoure. C’est pourquoi il est d’une importance capitale de prendre soin de ses pensées et des émotions qui y sont associées.
La neutralité est peut-être votre flambeau. Vous attendez peut-être ce déclencheur qui va vous propulser vers d’autres sphères. La neutralité convient à beaucoup de personnes. Dans la vie, il y a des leaders et des suiveurs et cet équilibre est nécessaire.
Et si vous avez conscience d’être du côté du bien, alors je vous en félicite. Retenez tout de même que chaque chose et chaque personne est à sa place dans la vie. Vous n’êtes pas meilleur parce que vous œuvrez pour le bien. Mais c’est une démarche qui demande souvent du courage dans nos sociétés et qui est porteuse de résultats magnifiques pour vous et l’écosystème qui vous entoure.
C’était le premier message que je voulais faire passer dans cet article : le fait que vous pouvez dès maintenant participer activement à un monde meilleur. Et également qu’il se peut que vous alliez contre en entretenant des pensées néfastes. Prenez conscience de cela simplement sans vous juger pour quoi que ce soit. Le changement, c’est maintenant. Vous avez le pouvoir d’appliquer ce dicton pour de bon !
Un monde en profonde transformation
J’écris également cet article pour vous parler de lâcher-prise puisque c’est le thème de ce mois-ci.
Il est parfois compliqué, en se tenant informé de ce qu’il se passe dans le monde et même parfois simplement dans notre quartier, de se sentir bien face à ce que nous voyons.
Entre crise, guerres, immigration, sans-abris, catastrophes, difficile de faire la part des choses.
C’est là qu’intervient le lâcher-prise. Etre solidaire, c’est bien, et si vous pouvez aider votre prochain à mieux vivre sa vie, c’est une magnifique chose à faire.
Mais on ne peut aider tout le monde. On ne peut prendre la responsabilité de tout ce qui se passe.
Et il y a plus important à comprendre sur le monde et la vie en générale. C’est que chaque chose est à sa place. Cela signifie que toute crise est nécessaire. Certaines personnes en font les frais mais lorsque c’est le cas, c’est que ces personnes en ont quelque chose à tirer pour leur propre développement.
N’avez-vous jamais remarqué que vos plus grandes peines ou vos plus grands échecs vous ont construit et vous ont dotés de grandes forces ?
On dit souvent que nos plus grandes peines ou souffrances regorgent de possibilités infinies ou d’un potentiel immense. Tout comme la voie de la réussite est semée d’embûches et de ce que l’on appelle communément des échecs.
Allez demander à n’importe quelle personne qui a accompli quelque chose qui sort de l’ordinaire si elle n’a pas fait face à des obstacles, voire à des échecs cuisants ?
Je me suis personnellement connecté à beaucoup de personnes dans le développement personnel et ces personnes ont tendance à connaître de grandes épreuves puisqu’elles sont prêtes à se challenger. J’ai appris récemment qu’une de mes connaissances était passée de millionnaire à « rien du tout » 4 fois au cours de sa vie jusqu’à présent. N’est-ce pas impressionnant ? Cela ne montre-t-il pas que derrière chaque expérience, même néfaste à première vue, se cache un cadeau d’une infinie beauté ?
Lâcher-prise dans un monde créé à notre image
Le monde change à mesure que les hommes et les femmes changent. Notre monde est ce qu’il est parce que nous l’avons créé de toute pièce. Chacun d’entre nous est responsable de la vie qu’il a créé. C’est trop facile d’accuser les autres. Et c’est trop facile de s’en plaindre.
Votre vie est à l’image de ce dont vous avez le plus besoin aujourd’hui pour évoluer.
En ce sens, je vous demande de l’accepter et de lâcher-prise sur ce sur quoi vous résistez.
Vous méritez de vivre heureux et plein d’énergie. Et ce n’est pas en nourrissant des tensions et en ressentant des émotions de colère, de peur, de frustration, de manque, de jalousie ou que sais-je, que vous allez contribuer à un monde meilleur.
Nous construisons ce monde meilleur ensemble. Nous le cocréons de toute pièce. Ce n’est qu’une question de temps pour que le monde devienne différent et que chacun y trouve sa place.
Et cela commence par lâcher nos vieux schémas et nos petites pensées sans aucun intérêt.
Nous sommes tous des êtres créateurs immenses et dotés de vrais pouvoirs, notamment celui de créer la vie que l’on souhaite vraiment et de contribuer à un monde qui deviendra toujours meilleur.
Mais ce monde qui peut paraître féroce et cruel aujourd’hui pour certains n’est que le reflet de ce que nous avons créé. C’est un fait. Et il nous est nécessaire pour aller plus loin et croître.
Marc Aurèle a dit une phrase tout à fait remarquable qui est « Que la force me soit donnée de supporter ce qui ne peut être changé et le courage de changer ce qui peut l’être mais aussi la sagesse de distinguer l’un de l’autre. ».
Agissez aujourd’hui en appliquant ce dicton.
- Lâchez prise sur ce que vous ne pouvez contrôler.
- Agissez envers ce que vous pouvez changer, même à votre petite échelle.
Chaque pensée positive entretenue est un pas vers une meilleure humanité.
Quand on pense qu’un groupe de quelques centaines personnes pratiquant la méditation a pu faire réduire le nombre de conflits sur la planète pendant plusieurs jours, on se dit que la porte est ouverte pour construire de très belles choses.
Vivez votre vie avec légèreté, sans prise de tête, avec amour et surtout en donnant le meilleur de vous-même et vous contribuerez largement à la construction d’un monde meilleur.
J’espère que ces quelques lignes vous auront inspirées. N’hésitez pas à me faire part de vos retours et de vos expériences face à ce monde perçu parfois comme hostile et cruel et qui n’attend que nous pour évoluer.
A propos de l'auteur
Dorian Vallet est un éveilleur de Conscience, Auteur et Créateur du site Terre Cristalline. Sa Joie aujourd’hui est de contribuer à l’émergence de la Nouvelle Humanité en aidant chaque Un à Reconnecter à son Essence. Il vous guide afin de passer d’un état de souffrance et de limitation à celui de la Pleine Expression. Son intention est de vous permettre de vous Ancrer dans la Profondeur de l’Être et à recréer la Connexion à l’Âme et à la Source. C’est retrouver la Simplicité de l’Être et incarner votre dimension Cristalline. Œuvrer à l’éveil de l’Humanité le guide au quotidien en aidant chaque Un à Manifester sa Vibration Originelle dans sa vie en accord parfait avec les Lois Universelles.
Cet article fait partie de la série sur le développement personnel.
Vous y trouverez des outils pour développer votre personne, développer vos compétences ainsi que comment mieux gérer vos pensées et vos émotions. Vous pouvez retrouver l'article phare de cette catégorie ici : https://terrecristalline.fr/developpement-personnel-depouillement-personnel/.
Bonjour Drian,
très bon article.
Il est vrai que nous vivons dans un monde ou tout n’est pas rose. Il nous incombe à chacun de trouver sa place. Cela se fait par une prise de conscience et une démarche de développement personnel continue.
Certes, cela ne se fait pas du jour au lendemain, mais en s’engageant dans la voie de l’amélioration de soi, on se transforme en une source d’inspiration pour les autres. En se transformant nous-mêmes, on transforme le monde qui nous entoure.
Alors, soyons le changement que nous voulons voir dans le monde.
À bientôt,
Nassim
Bonjour Nassim,
Je ne peux qu’être d’accord avec tout ce que tu dis là.
Incarnons le changement nous-même car le changement commence par soi. Si chacun pensait cela et arrêtait de vouloir changer le monde, alors le monde serait transformé !
Cela prendra du temps mais nous sommes de plus en plus sur ce chemin 🙂
Au plaisir !
Dorian
Bonjour Dorian,
La cruauté dans le monde, même si elle change de visage selon les époques, a toujours existé.
C’est à chacun d’entre nous de contribuer, à la mesure de ses moyens, par des actions à notre portée, pour que le monde bouge.
Il est tellement plus constructif d’accepter ce qui est et que nous ne pouvons pas changer et de diriger son énergie vers ce que nous pouvons changer. C’est à dire nos attitudes au quotidien, nos pensées, nos actes, tout ce qui tend pour une amélioration de ce monde.
Lâcher prise, oui ! Tout en dirigeant son énergie vers ce qu’il est possible de changer.
Merci Dorian pour la réflexion que tu m’apportes.
Hélène
Bonjour Hélène,
Oui tu as raison, elle a toujours existé. Je pense tout de même qu’un monde sans ça est possible mais que cette cruauté nous est nécessaire aujourd’hui pour comprendre certaines choses et évoluer.
Exactement oui, tendre vers l’amélioration et le mieux-être en donnant le meilleur de soi est une attitude des plus nobles et bénéfiques pour chacun !
Au plaisir Hélène ! Très belle journée à toi.
Dorian
Article très inspirant ! Merci beaucoup !
Je valide !
Christopher
Merci Christopher 🙂
Au plaisir !
Dorian
Salut Dorian,
rah le lâcher-prise, notion complexe mais nécessaire à appréhender, on a sans doute chacun notre définition là-dessus.
Mais comme tu le dis bien, se focaliser sur ce qu’on peut changer, et laisser de côté autant que possible ce qu’on ne peut pas changer (la météo typiquement) ou alors si ça nous embête vraiment beaucoup, rechercher comment on pourrait contourner ça (aller dans un endroit où il fait beau ?) ou en tirer partie (tient, je vais profiter du temps pourri pour faire du rangement).
De plus en plus quand quelque chose me dérange, j’essaye de me dire qu’il y a sans doute une bonne raison pour que la chose se passe ainsi même si pour l’instant j’en n’ai pas conscience.
Nassim me dit bien « soyons le changement que nous voulons voir dans le monde. » on la lit/entend souvent celle-là pourtant, il est nécessaire de l’avoir à l’esprit, de bien l’assimiler. C’est vraiment à partir de là qu’on peut progresser, en ne restant plus les bras ballant espérant que ça va aller mieux comme ça tout seul.
Lâcher-prise sur les déconvenues, petites ou grosses, tout en restant focalisé un maximum sur ce qu’on veut atteindre alors que le chemin peut être plus ou moins long, apprécier ce chemin, et si ça doit se faire alors ça se fera 🙂
Je pense aussi que plus on avance – avec l’aide du lâcher-prise pour justement se concentrer sur ce qu’on a le plus de chance de faire évoluer – plus on peut se rapprocher de ce qu’on ne peut contrôler. Je veux dire par là que plus on va avoir l’attitude, l’état d’esprit pour influer sur des choses sur lesquelles on ne pouvait pas (pensait pas ?) pouvoir influer avant. En clair, plus on évolue positivement et plus les possibilités s’ouvrent à nous.
Belle journée à toi 🙂
Salut Marine,
Merci à toi pour ton message 🙂
Haha oui la météo ! Bien qu’une personne toujours branché sur le beau temps puisse probablement se trouver toujours à un endroit où il fait beau (pour cela il faudrait pleinement s’écouter, ne pas avoir de lieu de vie fixe, et courir derrière les synchronicités :D)
Ton point de vue est intéressant. Plus on lâche prise et plus les possibilités s’ouvrent à nous… hm. Plus on a la capacité de les voir en tout cas, je suis d’accord sur ce point 🙂
Pour moi, le lâcher-prise est la clé de tout. On se prend le chou de nos jours !!!! Pour quoi que ce soit. Et j’ai moi-même encore bien des progrès à faire là-dessus. Parfois un imprévu va me faire monter des émotions incohérentes. Pourtant, y-t-il un risque de quoi que ce soit ? Au « pire », je suis hors de ma zone de confort et je m’autorise à vivre des expériences différentes et enrichissantes !
Merci et au plaisir Marine 🙂
Dorian
Bonjour Dorian 🙂
« Ton point de vue est intéressant. Plus on lâche prise et plus les possibilités s’ouvrent à nous… hm. Plus on a la capacité de les voir en tout cas, je suis d’accord sur ce point »
Oui, plus on a la capacité de voir les possibilités, car avant on pouvait ne pas les voir, notamment car on ne se sentait pas capable ou ça ne traversait même pas l’esprit.
« On se prend le chou de nos jours !!!! Pour quoi que ce soit. »
C’est clair, moi aussi j’ai des progrès à faire là-dessus, j’essaye de penser régulièrement à l’accord Toltèque « Ne jamais en faire une affaire personnelle » mais j’ai encore du mal, notamment face aux comportements/paroles des autres, j’y parviens + pour le reste. Mais bon, le principal, c’est d’en avoir conscience et d’essayer de s’améliorer.
Quand je sens qu’une situation va me stresser, j’essaye de me dire « bon bah au moins, je vais pouvoir voir à quel niveau je suis, si j’ai fait des progrès ». Je veux dire, si en pratique j’ai évoluer positivement. Car on peut évoluer « seul », dans sa petite zone de confort, et ce n’est pas rien, c’est un premier pas important, mais on ne sait qu’on a évolué positivement et très clairement que lorsqu’on est challengé.
Belle journée à toi 😉
Bonjour Marine,
Oui tu as raison, chaque expérience est une façon de se tester d’une certaine façon et de voir où l’on en est.
Et chaque instant est un cadeau qui nous est délivré pour progresser 🙂
Haha oui ne pas en faire une affaire personnelle. La sagesse de toutes les sagesses.
Au plaisir !!
Dorian
Bonjour Dorian,
J’ai connu des souffrances plus qu’à mon tour. Comme on dit, j’en ai bien chié ! Mais je lis le mot « bien », que j’associe souvent à un terme négatif a priori. Comme j’ai « bien » mal ou j’ai une « belle » migraine. Ça veut tout dire, non ?
Rien qu’en cela, je sais que j’œuvre pour le bien et ca me fait du bien.
Au plaisir de te lire encore Dorian,
Muriel
Rebonjour Muriel,
Poétique tout ça 🙂
En réalité, les mots ont peu d’importance. Ils sont parfois chargés d’une énergie collective comme les mots argent ou guerre.
Mais quand on les utilise personnellement, ce qui compte est l’intention qu’il y a derrière 🙂
Oeuvrer pour le bien, ça fait du bien, j’aime bien !! 🙂
Au plaisir également !
Dorian
Salut Dorian,:-)
J’aime beaucoup ton final, avec la citation de Marc Aurèle, que je te pique d’ailleurs ;-). Je crois que la vie nous donne des réponses, et si on ne va pas dans la bonne direction, elle nous mets des bâtons dans les roues… Donc à nous de discerner où on met les pieds…
Les signes sont là, on est toujours guidé dans la bonne direction, qui peut être parfois d’accepter une situation, de lâcher prise parce qu’on est dans un prise de conscience qui est hors radar…;-)
Et très clairement, oui, se changer nous pour changer le monde… et très souvent aider une personne, ça n’est pas lui rendre service… C’est comme si on aide un papillon à sortir de sa chrysalide, soit il meurt, soit il finit avec des ailes rabougries… Parce que c’est l’apprentissage de se transformer qui va nous donner des ailes…
Mais c’est pas simple de regarder quelqu’un en train de se débattre, il y aussi la culpabilité à rester là, les bras croisés… et de nouveau, quel est le plan divin derrière le radar, souvent un choix de la personne au niveau de l’âme…
🙂
Ophélie vous propose de lire son dernier article : Transmission de langage de lumière, énergies de mai 2015
Salut Ophélie 🙂
je pense qu’il faut faire une petite nuance par rapport à ce que tu écris « Je crois que la vie nous donne des réponses, et si on ne va pas dans la bonne direction, elle nous mets des bâtons dans les roues »
Certes, on se prend des bâtons dans les roues quand on n’est pas sur la bonne voie, mais on peut aussi estimer qu’on s’en prend lorsqu’on est dans la bonne direction. Je veux dire par là qu’il ne faut pas non plus abandonner (lâcher-prise) à la première difficulté pensant que c’est un signe qu’on se trompe…
Très parlante l’image du papillon, j’aime beaucoup 🙂 Ne crois-tu pas cependant que l’on peut tendre la main, laisser quelques indices de l’aide que l’on pourrait apporter lors d’une conversation par exemple, et voir si la personne mord à l’hameçon et lui offrir alors notre aide ?
Pas évident, en tout cas pour moi, de voir des personnes se débattre et à qui je pourrais sans doute apporter mon aide. Malgré tout, même si ça me fait un pincement au cœur, quand je constate qu’une personne ne mord pas à l’hameçon, je me dis qu’elle n’est pas encore prête et que c’est à elle de faire le chemin, le switch dans son mental, pas à moi à le forcer parce que de toute façon, ça ne fonctionne pas et pire, ça pourrait retarder la prise de conscience…
Sympa ton site Ofessens que j’ai découvert il y a quelques temps, tu as un style bien à toi et des points de vue intéressants qui font réfléchir 🙂
BOnjour à vous 2,
J’ai prévu d’écrire un article sur le sujet de l’égo spirituel qui est exactement ce que tu décris ici Marine.
Doit-on vraiment aider les autres ? J’aime beaucoup l’image du papillon aussi 🙂
Prêchons-nous la bonne parole ? Doit-on faire penser les autres comme nous ?
Je pense que le lâcher-prise est aussi là. Tendre des perches, c’est ok. Certaines personnes les saisiront avec plaisir.
Mais si elles ne les saisissent pas, c’est qu’elles n’en ont pas besoin aujourd’hui. Elles ont besoin d’autre chose et ce n’est pas à nous de détemriner ce qui est bon ou pas pour les autres.
A ce moment là, le lâcher-prise est crucial. Tout le monde n’est pas prêt à être aidé. Chaque chose est à sa place et chacun apprendre à son rythme avec les armes qui lui sont données.
Voilà mon avis en tout cas 🙂
Au plaisir !!
Dorian
Excellent bravo dorian
Merci Grégory ! Je vois ton site en lien, c’est ton activité ?
Dorian
Bonjour et merci beaucoup pour cet article Dorian,
Le lâcher-prise n’est pas forcément simple au début, pourtant on se rend vite compte qu’il n’a que des bienfaits et qu’il vaut mieux se débarrasser de ce qui nous limite plutôt de s’accrocher à ce qu’on ne peut de toute manière pas changer 🙂
Au plaisir de te lire à nouveau,
Adam.
Adam Fartassi vous propose de lire son dernier article : Ãtre heureux : Les 5 autres principes indémodables !
Bonjour Adam,
C’est bien vrai. C’est bien la chose la plus simple qui soit mais on se complique tellement la vie que même les choses les plus simples deviennent compliquées haha.
Merci pour ton passage ici et au plaisir ! 🙂
Dorian
Bonjour Dorian,
Dans je ne sais combien de travaux pour sortir de mon chagrin, j’ai eu incessamment l’injonction de : « lâcher prise » avec toutes les précisions utiles et nécessaires et je constate que vous utilisez les mêmes termes qu’utilisaient mes parents quand j’étais petite : il faut, tu dois !
Lâcher prise comme ci et comme là, c’est très pertinent, mon intellect dit OUI ! mais bon sang, mais c’est bien sûr !
Sauf que mon coeur il s’en fiche bien pas mal de mon intellect, il me dit que je ne l’ai pas écouté et que c’est pour ça que souffre.
Le lâcher prise, donc, n’est valide que pour les paramètres mentaux, pour le coeur, pas de solution.
Sauf, peut être, je dis bien peut être, accepter de vivre avec sa souffrance, se donner à soi-même la compassion et la bienveillance qu’on ne reçoit pas de l’extérieur pour que doucement, petit à petit, le coeur guérisse de sa blessure ?!
Accepter que cela va mettre longtemps et que pendant tout ce temps, on sera en convalescence, voire en rééducation ! et que la guérison n’est pas garantie à date fixe, qu’il peut y avoir une rechute.
Accepter qu’on est vulnérable et que c’est ça qui nous rend humain.
Merci pour votre contribution.
Nelly
Bonjour Nelly,
C’est intéressant car j’ai relu l’article et je n’y ai vu aucun « il faut » ou « tu dois ». C’est là que l’on voit que l’on crée bien sa réalité. C’est soit vous créez ces termes, soit ils sont invisibles à mes yeux. Ou peut-être les 2 à la fois…
Alors… je vais être très franc. Ça ne demande pas de temps. Lâcher-prise est instantané lorsqu’il opère.
Et cela demande de s’extraire du jugement. Tu juges aujourd’hui ton état, ou ta souffrance, ou tes émotions dites négatives.
Or tout cela ce sont des merveilles.
Lorsque tu mets de l’Amour dans tout ce qui est, alors tout se libère.
Tu vivras toujours des expériences difficiles car cette expériences terrestre à travers la dualité est difficile.
Mais on savait précisément à quoi on s’exposait en venant.
Aujourd’hui, tu peux te détacher du jugement et t’unifier avec l’agréable et le moins agréable. Ainsi, tu accueilles tout ce qui est inconditionnellement et tu te libères instantanément, consciente de l’aspect éphémère de chaque expérience et en distinction du personnage que tu joues par rapport à l’être divin que tu es.
Re-bonjour Dorian,
Merci pour votre réponse, pardon de ne pas vous tutoyer !
Votre écrit : « en ce sens, je vous demande de l’accepter et de lâcher-prise sur ce sur quoi vous résistez. » et « Vivez votre vie avec légèreté, sans prise de tête, avec amour et surtout en donnant le meilleur de vous-même et vous contribuerez largement à la construction d’un monde meilleur. »
En effet, vous n’avez pas utilisé les termes ; « il faut », et « tu dois », mais « je vous demande », « accepter », « lâcher prise » et les injonctions : « vivez » « sans prise de tête », « avec amour » et « en donnant »
Remarquez que vous utilisez l’infinitif pour « accepter » et « lâcher prise » mais pas pour le « vivez » et ce n’est pas anodin.
Il est possible que votre connaissance du français soit différente de la mienne, mais les injonctions que vous utilisez sont sans appel, ce sont des commandements, non pas des invitations ou des suggestions.
C’est pourquoi je les prends comme tels ; des ordres.
Un ordre se montre comme tel lorsqu’il est effectivement associé aux verbes correspondants : devoir et falloir.
Vous avez choisi de ne pas les utiliser pour donner l’illusion que ce n’en sont pas, c’est une façon d’induire un amalgame et une confusion, l’inverse de ce que vous prétendez proposer.
D’ailleurs, l’information sur la manière dont on s’y prend pour les exécuter, vos commendements !?
Bien cordialement
Nelly
Bonjour Nelly,
Je ne sais pas tellement quoi vous répondre.
J’ai l’impression d’être un petit garçon puni d’avoir mal suivi la consigne :))
Quoiqu’il en soit, vous êtes libre de suivre ou non ces conseils/ordres. Un ordre non respecté donne suite à une punition dans ma façon de voir les choses.
Ma façon de m’exprimer peut être affirmée mais chacun est libre d’y adhérer ou non.
Concernant la manière, j’offre toutes mes formations sur le Cercle ATAYUMN, vous pouvez y jeter un oeil ou 2 si cela vous intéresse.
Au plaisir !
Dorian